3 ans et toutes ses dents

Aujourd'hui, jour exceptionnel pour un anniversaire exceptionnel : les 3 ans de ma Louloute ! 

3 ans... C'est l'étape de la petite enfance qui fait devenir vieux les bébés... Ou plutôt celle qui les transforme en enfant, des vrais! Des petits d'hommes capables d'aller à l'école, DÉJÀ!!! Eh oui car c'est ce qui attend ma fifille à la rentrée de septembre (en même temps que la rentrée de 6e de Chouchou, donc simultanément 2 étapes importantes dans leur vie!) (et dans la mienne mamamiaaaa)

Aujourd'hui, ma fille ne pensait qu'à une chose... avoir une trottinette! Si bien que lorsqu'elle a ouvert son premier paquet, de format assez réduit, elle a déchanté : "Mais, c'est pas une trottinette!" Bien-sûr, d'autres allaient suivre et on a pris soin de réserver la trottinette en dernier! Elle a déballé malgré tout ses cadeaux avec beaucoup de plaisir...

Aujourd'hui, on ne l'arrêtait plus. Il faut dire que la trottinette fait en quelque sorte partie de son quotidien depuis sa naissance. Ses deux frères en ont usé et abusé devant ses yeux, jusqu'à ce qu'elle ressente en elle les ressources nécessaires pour se lancer. Car il faut dire que c'est pas une téméraire notre Louloute : problèmes kiné dès les premiers mois, hypotonie, fatigabilité, marche tardive (23 mois) : il a bien fallu attendre ses 3 ans révolus pour la voir évoluer sur cet engin!

Et elle s'est super bien débrouillée ce soir. C'est une 3 roues bien-sûr, la 2 roues cédée par sa cousine ne lui convenant évidemment pas (elle se tenait sur les murs, vachement pratique en ville!) Au passage, merci Decath pour tous ces bons et loyaux services!

Aujourd'hui, je suis heureuse.

Comblée.

A bientôt pour de nouvelles aventures, après le long week-end du VRAI farniente...

Eveil musical à domicile

S'il existe une collection de livres-CD pour enfants incontournable, c'est bien celle éditée par Didier Jeunesse. Grand classique des bibliothèques, cette série regroupe à mon avis l'essentiel de ce qu'il faut avoir chez soi pour éveiller ses enfants à la musique.

Les ouvrages sont facilement reconnaissables, ils arborent tous un relief en forme de lune sur leur couverture. Ils sont généralement de grand format, le papier est épais donc résistant aux manipulations des petites mains maladroites, et les explications spécifiques à chaque ouvrage sont bien documentées.

Atout majeur, des illustrations magnifiquement colorées et de styles différents associées à chaque chanson offrent un véritable plaisir des yeux et apportent un éveil pictural à l'enfant.

Les musiques sont soigneusement sélectionnées et sont donc d'excellente qualité. Elles appartiennent à des catégories distinctes, adaptées à chaque âge : comptines, berceuses et chansons du monde, opéras simplifiés, histoires racontées par des personnalités (Nathalie Dessay) sur fonds d’œuvres classiques de référence, biographies de compositeurs arrangées, contes revisités... Il y en a pour tous les goût!

Les titres évocateurs de certains ouvrages sont délicieusement poétiques : Comptines de rose et de safran, A l'ombre de l'olivier, Comptines de miel et de pistache, Au fil des flots, Noël d'étoiles et de musique, A l'ombre du flamboyant, Monsieur Chopin ou le voyage de la note bleue, A pas de velours...

Si les grands formats restent un peu chers (23,80 euros en moyenne), il est possible de se les procurer à moindre coût via des sites de vente en ligne (Amazon par exemple présente un large choix d'occasions en bon état). Cette collection est malheureusement souvent absente des vide-greniers et autres braderies, les familles devant rechigner à s'en débarrasser... 

Cadeau d'anniversaire de ma fille, c'est notre premier exemplaire personnel (il vient tout juste de sortir!)

Carte scolaire

Petit coup de speed aujourd'hui, concernant l'inscription de notre aîné en 6e pour la rentrée de septembre. Malheureusement, nous n'habitons pas dans la zone définie pour le collège Pierre de Fermat, établissement public de très bon niveau que nous fréquentions autrefois son papa et moi. De la 6e à la terminale, tout de même ça compte! Il nous parait donc tout naturel que notre descendance soit scolarisée au même endroit. D'autant plus que sa situation, entre le Capitole et les berges de la Garonne, ses bâtiments historiques et son immédiate proximité avec le Parvis des Jacobins, donnent un cachet particulier à cet endroit.

Sauf que voilà, nous, on dépend théoriquement du collège Michelet, qui est le prolongement de l'enseignement primaire du même nom (où est scolarisé notre fils en ce moment). Mais grosse déception, et c'est là que se trouve l'aberration, il suffit de traverser notre boulevard et de s'engager dans la rue d'en face : et là, on est dans la zone de Fermat. C'est ballot!

En se renseignant ce matin auprès du collège et de l'inspection académique, on a appris avec soulagement qu'une dérogation existait pour les limites de secteur comme nous. Par contre, les places sont chères et cette situation est classée 6e par ordre de priorité, sur 7... Les prioritaires absolus étant bien entendu les habitants du bon secteur.

Vraiment pas gagné donc, et on attend avec une certaine anxiété les fiches de liaison à remplir qui seront prochainement délivrées par l'institutrice... Affaire à suivre! 

 

Humeur arc-en-ciel

En ce moment, je ne sais pas pourquoi, j'ai envie de beaux bijoux très colorés et originaux. Peut-être est-ce la conséquence de cette grisaille persistante...

Bon déjà, j'ai largement développé ma nouvelle et dévorante passion pour les bijoux gourmands ICI et LA. D'ailleurs, j'ai cédé au plaisir d'en commander un, que voici pendu à mon cou :

"Petit plaisir au kiwi" par Lily-Rose

J'avais d'ailleurs déjà publié la photo de ce bijou via le site d'origine, en version présentable.

Il existe par ailleurs un petit magasin dans le centre de Toulouse qui s'appelle "Sucre&Cannelle" et pour lequel j'ai eu également un véritable coup de foudre quand je l'ai découvert. Des bijoux, très colorés toujours, de styles variables (il y en a pour tous les goûts), classés par couleurs. Un peu chers malheureusement (un sautoir peut coûter 40 euros par exemple).

Enfin, dernier coup de cœur du moment, je suis passé avec les enfants au magasin Imaginères pendant les vacances, qui propose tout ce qui peut se faire en produits dérivés dans l'univers de la science fiction (Harry Potter, Star Wars, le Seigneur des Anneaux, les elfes, etc). J'ai craqué sur des petits pendentifs en forme de Trolls, et chacun a le sien.

Here is mine...

Ironic

1996, année de sortie de Ironic (Alanis Morissette)... J'avais 15 ans...

L'âge tendre des premiers émois amoureux, des fous rires entre copains, l'âge des désillusions et des larmes aussi. Les années de l'adolescence signent des moments de bonheur pur et intense, sans tâche. Les parents lâchent un peu la bride, on a plus d'autonomie. Mais en même temps, on a encore un pied dans l'enfance et c'est une fenêtre ouverte à toutes les libertés d'expression.

Nostalgie, quand tu nous tiens...

Pour la petite histoire, voici ce que dit la chanteuse à propos de cette chanson :

« Pour moi, le grand débat de savoir si ce que je dis dans Ironic est ironique n'est pas un débat traumatisant. J'ai toujours accepté le fait que de temps en temps je suis la reine des abus de langage. Et quand Glen et moi l'avons écrite, nous n'étions pas à chaque instant en train de nous assurer que tout était techniquement ironique. C'est une preuve que nous ne pensions pas que cela allait être examiné au microcoscope par 30 millions de personnes. Pour moi le meilleur moment est survenu à New York quand une femme est venue me voir dans un magasin de disques et a dit : "Donc, toutes ces choses dans Ironic ne sont pas ironiques." et puis a ajouté : "Et c'est ce qui est ironique". J'ai dit "Oui." Pour moi c'est un véritable instantané d'une définition vieille de 90 ans et une version de comment la vie fonctionne. »

J'adore cette chanson, et le clip aussi. La musique colle parfaitement avec l'esprit d'évasion, de liberté et d'euphorie de l'adolescence. En la réécoutant aujourd'hui, ce sentiment d'allégresse est encore intact.

Votez utile! Votez pour moi!

Comme tout événement historique qui se respecte, il est utile de mentionner les victoires de Hollande et Sarkozy au premier tour des élections présidentielles. Le deuxième tour est programmé le 6 mai.

Je ne ferai pas étal de mes impressions ni de mes convictions politiques, chose que j'ai trop largement fait dans mon blog précédent. Moi ce que je dis, c'est que moins on en dit, mieux c'est. Cela m'a valu beaucoup de déceptions dernièrement, avec l'affaire Merah. Dans une interface publique telle que MSN, Facebook ou un blog, il vaut mieux s'en tenir à ce qu'on pense et se taire. Il est préférable à mon avis d'en parler de vive voix, ou pas du tout. De toute façon, j'estime ne pas avoir les compétences nécessaires pour défendre mes opinions comme je le voudrais...

Nous avons quand-même passé notre dernier week-end des vacances à la campagne et sommes revenus expressément pour voter sur Toulouse une heure avant la fermeture des bureaux de vote. Samedi matin, au moment où tout était prêt pour partir, je me suis demandée où était passée ma carte d'identité, indispensable au vote du lendemain. D'habitude, elle est sagement glissée à l'intérieur de mon portefeuille, mais là que nenni. Une demi-heure après avoir fouillé en vain poches, sacs et tiroirs, nous sommes malgré tout partis en espérant qu'au pire une autre pièce d'identité pourrait faire l'affaire (ce qui est effectivement valable, j'en ai eu la confirmation).

J'ai fini par la trouver, cette coquine de carte... dans ma tête! Sur le trajet en voiture, je me suis souvenue que j'avais récemment photocopié le document dans mon imprimante scanner pour le compte de la Mairie (changement d'adresse électorale justement). Elle était donc probablement restée dedans! Bingo, c'était bien le cas!

Les 22h sont dépassées, demain matin je dormirai 2h de moins que pendant les vacances... Allez, il faut se résigner, je me carapate dans mon lit!

Ça, c'est pour l'anecdote...

Voilà... C'est fini

Ça y est, les vacances se terminent, déjà... (enfin presque!)
Au début, et ça fait ça à chaque fois, la perspective de 2 semaines de vacances avec des enfants parait insurmontable : il faut passer à la préparation de 2 à 4 repas par jour (j'inclus le goûter), bourrer quotidiennement le lave-vaisselle en conséquence, augmenter le quota de lessives (eh oui en vacances les enfants se lâchent niveau tâches c'est bien connu!), s'efforcer de dénicher occupations et sorties intéressantes par tous les temps...

Pas simple, mais au bout de quelques jours on est forcés de prendre le rythme. Et puis, on s’aperçoit aussi que...

On peut dormir le matin! Si si, c'est possible, dans la mesure où les loupiots savent respecter un minimum le sommeil d'autrui (des truies) et où leur âge excède 18 mois (c'est une moyenne, il existe aussi des bébés qui font leur nuit et leur grasse matinée à 2 mois, et des enfants -désespérants- qui sont des agités nocturnes à 6 ans).

Et puis, on peut traîner quelques heures supplémentaires en pyjama le matin, regarder un film le soir, manger à des heures décalées, prendre le temps de parler, jouer, vivre.

Alors finalement, je me surprends à redouter davantage la reprise que le début des vacances. Et je me surprends aussi à penser aux prochains congés...

Mais les prochains congés, ce sont les GRANDES vacances, non? 2 MOIS !! Ah non, au secours, je ne vais pas m'en sortiiiiiir !!

Lilyrose #2 : La concurrence

Je vais sans doute en soûler plus d'un avec mes chroniques répétées sur les bijoux gourmands, mais je réalise petit à petit qu'ils font maintenant partie intégrante de ma VIE !

Alors rebelote ce soir, mais je serai brève.

En fouillant un peu plus en avant dans le site Dawanda, je découvre dans la rubrique "bijoux gourmands", pas moins de 217 pages de créations du même genre, made in une multitude de gens tous plus talentueux les uns que les autres. Un vrai bric-à-brac de friandises ravissantes. Et pas chères.

J'ai donc commencé à constituer une liste non exhaustive de mes "boutiques préférées", mais cela relève d'un travail archéologique. Je déniche néanmoins de véritables perles...

Découvert sur DaWanda

Chez: NanouCreation

Bague ♥Gaufre & ses charms♥

Découvert sur DaWanda

Chez: LittlePinkBox

Collier dessert gâteau

Découvert sur DaWanda

Chez: ninie1805

Bijoux de sac gâteau fourré bn rose et macaron

J'ai pris une excellente résolution, tout ce qu'il y a de plus raisonnable : me limiter à une commande de bijou par mois ! Car si je m'écoutais, je m'en dégoterais bien un tous les jours... 

(vu que c'est pas ruineux)

Lilyrose

Bon alors là je peux le dire tel que je le ressens, il faut que ça sorte : je viens d'avoir à l'instant un méga COUP DE FOUDRE esthétique, matérialisé par les chefs d’œuvre de Lilyrose-créations.

Juste après mon inscription sur Hellocoton, je parcours vite fait le site et me laisse guider au gré de mes envies. Et là, parmi une liste illustrée de blogs, je tombe sur ça :

Mamamiaaaaaaaa !!! Help ! Want it !! C'est tout ce que j'aime : un petit bijou coloré gourmand hypra original à souhait. Je connaissais déjà ce style de créations, en résine polymère. J'en avais déjà reluqué des comme ça à la foire annuelle des Artisans d'Art. Mais là, c'est en version plus jolie, plus travaillée, plus raffinée, et encore plus gourmande !

Je me précipite sur le lien illico, et ce que je découvre confirme mon enthousiasme. Tout est tellement beau et unique! Lilyrose ne crée pas uniquement des gourmandises, mais ça reste la majorité (et c'est bien-sûr mes préférés!). Elle y ajoute souvent des petites breloques et joue avec les matières, les couleurs et les styles.

En voici une petite sélection parmi mes chouchous !

J'aurais pu en mettre 15 de plus, mais le temps me manque. Le meilleur moyen est d'aller faire un tour sur sa page de créations ICI ! Les prix sont très abordables en plus. Elle réalise des bracelets, des bagues, des colliers, des sautoirs, des boucles d'oreille et des moules en silicone.

Je ne porte quasiment jamais de bijoux, mais là je suis scotchée par la beauté de l'objet et j'ai subitement envie de tous les mettre! Super idée cadeau!

Je ne veux pas twavailler !

J'ai toujours été remplie de bonnes résolutions... motivée... ambitieuse... Autant d'idéaux magnifiques que de projets avortés. En fait, j'ai toujours voulu "m'en sortir", d'une façon ou d'une autre, et ma vie est depuis toujours une lutte permanente contre mes imperfections.

Le "combat" le plus significatif concerne sans doute le TRAVAIL. 

Au lycée déjà, je m'escrimais désespérément à rattraper le niveau général correct exigé, opposant des heures de travail acharnées (mais vaines) à de longues périodes d'inactivité. Je n'étais pas une mauvaise élève au départ, non, loin de là, j'étais même fréquemment la première de ma classe en primaire. J'avais encore un bon niveau à mon entrée au collège, mais plus l'exigence augmentait, moins je parvenais à trouver en moi les ressources nécessaires à la réalisation du travail demandé. A la maison, pas vraiment de suivi. Papa bossait déjà en Afrique et Maman avait d'autres préoccupations et pensait sûrement que sa fille brillante serait bien capable d'assumer seule ses années d'école.

Résultat, un désastre. Des notes en chute libre, et un stress permanent. Ah ça, on ne pourra pas dire que mes années lycée auront été les plus épanouissantes de ma vie! Je m'en suis malgré tout sortie avec mon bac en poche (Scientifique, siouplait!) et, forte de cette réussite, j'ambitionnais de faire des études de médecine. 

"Ambitionnais" est le terme parfait.

Évidemment, qui dit "première année de médecine" sous-entend "esclavage temporaire" : dormir, boire, manger, vivre, tout en pensant MÉDECINE. État d'esprit que je n'avais jamais ne serait-ce qu'effleuré par la pensée dans ma vie. Très vite, j'ai déchanté, malgré une réelle envie d'exercer dans cette branche. Puis, j'ai été maman, très jeune (20 ans). Une grossesse désirée, une maternité intensément vécue. 

Pas facile de remettre le nez dans les études, mais je suis quand-même parvenue à un compromis : la filière universitaire musicologie était un moyen d'allier la musique que j'exerçais avec passion depuis quelques années, à une exigence de travail moins soutenue. Tout en garantissant au bout un diplôme et un boulot! (en théorie)

Ces années fac étaient géniales. Je m'en sortais bien, sans trop cravacher, car j'aimais ça. Entre temps, j'ai donné naissance à BB 2. Je suis allée jusqu'au Master 2 (équivalent Bac+5). Enfin, presque. Je me suis dégonflée en fin d'année au moment de soutenir mon mémoire, c'était en 2008. J'avais tout validé, il ne me manquait que ça, et je n'ai pas eu les cojones d'aller jusqu'au bout. Grand regret, encore aujourd'hui. BB 3 est arrivé en 2009, auquel j'ai consacré tout mon temps et tout mon amour. Et le temps passe si vite! Aujourd'hui, en 2012, j'ai 30 ans (tiens, ça ressemble à un début de VDM, ça!), et toujours pas de situation professionnelle digne de mes ambitions les plus folles (oui car je précise qu'en musicologie je projetait d'aller AU MOINS jusqu'à la thèse!)

Et ce soir, j'ai eu envie... de relire (lire) un de ces bouquins très intelligents que je potassais autrefois pour mon mémoire. Je me dis après tout, pourquoi pas, si cette démarche signe le départ d'une remise lente et progressive sur les rails de mon Master. "Un nouvel espoir", comme qu'y diraient dans Star Wars.

La première victime de ma renaissance intellectuelle est "L'expérience esthétique" de Renée Bouveresse. Pas follichon au premier abord, mais diablement intéressant!

Les RDV douillets

En ce moment, le temps n'incite pas à la sortie ! Ciel couvert, pluie fréquente, vent, froid... Après un début de printemps chaud et ensoleillé, les "Saints de Glace" font une entrée plutôt fracassante et assez soudaine au sein de la saison. Et rebonjour la chaudière!

Mais c'est pas grave, qu'à cela ne tienne, moi ça ne me déplait pas cette parenthèse hivernale. C'est les vacances, il faut occuper les enfants, mais on va survivre! Pas besoin de sortir à tout prix parce qu'il fait beau, on peut plus volontiers s'autoriser à : rester au lit bien au chaud le matin (au choix, pour dormir encore un peu ou lire un bon bouquin), prendre le temps de regarder un DVD, siroter thé ou café blotti dans le canapé... 

Bien-sûr, ça a du bon d'aller courir à droite à gauche dans les parcs ou en ville quand il y a du soleil, ça peut être sympa! Mais de temps en temps, qu'est-ce que c'est appréciable d'être "obligé" de ne... RIEN FAIRE !

Victor Hugo, Les Contemplations

Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,

Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.

J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.

Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,

Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,

Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,

Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,

Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,

Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe

Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.

Retour à la civillisation

Rien n'est plus authentique, épanouissant et libérateur que le contact avec la nature. C'est une sensation unique, un bonheur simple et grand.

Blog

Petit bilan de ces 2 premières semaines de vie bloguesque... Bon déjà, c'est pas aussi évident que ça n'y parait : trouver une mise en page qui convienne (temporairement si on est un peu ambitieux), puiser constamment dans son imagination des idées débordantes d'intérêt et surtout... COMPRENDRE COMMENT CA MARCHE !
Malgré une expérience non négligeable en matière de blogs, j'avoue me sentir un peu perdue. Mes connaissances en matière de techniques d'utilisation étaient déjà assez limitées, mais actuellement je me sens dépassée car en 5 ans, elles ont encore évolué.
Aujourd'hui, mes objectifs seraient de susciter l'intérêt d'un grand nombre de lecteurs en postant régulièrement et à long terme. Mais surtout, j'aimerais parvenir à comprendre le maniement de ces satanés codes HTML, CSS et j'en passe, pour personnaliser librement ma page. Il existe également pas mal de moyens de promouvoir son blog, dont j'ignore encore les tenants et les aboutissants.
Sur ce, l'heure des vacances a sonné...

Coquette banquette

Changer de canapé, ma mère en avait bien besoin... Après 2 décennies de bons et loyaux services, son vieux convertible souillé/passé/plus beau/orangeasse sera donc troqué contre une banquette exotico/colorée/chaleureuse/et qui fait lit, du plus bel effet. Et ceci grâce aux "Maisons du Monde". Jugez plutôt, moi je suis totalement conquise!

COMDT

Depuis la rentrée 2011, j'ai enfin trouvé THE activité musicale idéale pour les enfants. Pendant des années, je me suis pris le chou en me demandant comment j'allais pouvoir concilier des heures de musique avec un emploi-du-temps déjà bien rempli... Heures auxquelles il faut aussi ajouter des cours de solfège et de chorale quand il s'agit du Conservatoire. Heures coûteuses dans les écoles privées. Sans parler des temps de trajet et de la pratique de l'instrument à la maison. Pour un enfant, ça parait gérable. Mais pour une famille nombreuse, c'est autre chose...

Il était hors de question de faire courir les gamins dans tous les sens pendant leur temps de repos. Les semaines à l'école sont déjà bien chargées et les devoirs conséquents. Quelle place reste-t-il à l'oisiveté, pourtant nécessaire à leur épanouissement? Il faut aussi tenir compte que des frais d'inscription déjà élevés peuvent prendre des proportions importantes lorsqu'ils sont multipliés par 2 ou par 3!

Peu avant le mois de septembre de l'année dernière, une amie m'a parlé de cette alternative intéressante : le "Conservatoire Occitan". Je le connaissais de nom, mais je ne m'y étais jamais attardée. Très vite, j'ai réalisé les nombreux avantages qu'il offrait : frais d'inscription dérisoires, pas de cours dans des disciplines supplémentaires, situation à un quart d'heure à pied de chez moi.

Alors bien-sûr, je n'étais pas vraiment familière avec ce genre de musique traditionnelle et je me suis demandée où on allait mettre les pieds. Mon aîné a eu une place in extremis en "atelier" violon, et mon deuxième fut inscrit en "initiation instrumentale" (car encore trop jeune pour intégrer un atelier instrument).

Au final, je ne regrette absolument pas mon choix! Les enfants sont passionnés par ce qu'ils font et les profs sont sympas et accessibles. De petits goûters-concerts sont régulièrement programmés, dans une ambiance très conviviale. L'apprentissage se fait surtout "à l'oreille" et n'exige pas un travail personnel trop soutenu.

Leurs cours respectifs se déroulent une fois par semaine le mercredi et, par chance, à la même heure! En attendant d'y inscrire la plus jeune, en éveil chant et danse dès 4 ans...

Au COMDT, on apprend notamment l'accordéon diatonique, la cornemuse gasconne, la vielle à roue, le violon, les polyphonies occitanes, les danses tradionnelles... Pour plus d'info, c'est par ici !

 

VBA, les Vraies Bonnes Affaires !

Bon, ça c'est la very bonne affaire du jour, je viens de dénicher vraiment par hasard un jeu de "Trivial Pursuit édition famille" à Emmaüs (auquel je consacrerai forcément un article un jour). 

Vendu 57 euros à la Grande Récré (mais eux c'est des arnaqueurs, il faut le savoir!) et plus raisonnablement une quarantaine d'euros sur Amazon ou sur Ebay, je l'ai payé la modique somme de 2 euros !! Après vérification, le jeu est complet, état neuf.

Je ne compte plus les innombrables bonnes affaires que j'ai effectuées sur le marché de l'occasion : Emmaus, vide-greniers, sites de vente en ligne (Le Bon Coin, Ebay, Amazon, etc). Depuis la naissance de ma fille, je me régale avec les vêtements (parfois 50 centimes dans les vide-greniers). Les livres également, notamment les romans contemporains qu'on ne relit pas forcément (25 centimes à Emmaüs quand il y a les soldes!). Et les jeux de société, bien évidemment, vendus en excellent état pour une poignée d'euros.
Au début sceptique, je me suis vite laissée prendre au jeu. Aujourd'hui, je consulte toujours au préalable les offres d'occasions sur Internet avant d'acheter neuf (par nécessité).

Watches...

Depuis toujours, je suis une collectionneuse de montres. 

Petite, déjà, j'étais impressionnée par l'alliage du fonctionnel avec l'esthétique. En effet, une montre peut être un véritable bijou personnalisé, mais elle renferme avant tout un mécanisme d'une extrême complexité. Et c'est ça qui la rend fascinante.

Étant une accro de l'heure, je peux dire que ma montre est le prolongement de mon bras. 

Pour qu'elle ne soit pas une gêne au quotidien, il faut qu'elle possède avant tout un bon indice d'étanchéité. 50m est donc un minimum. De plus, il vaut mieux adopter un bracelet en acier inoxydable. Au début réfractaire au contact froid et au poids, je m'y suis vite habituée et force est de constater que le plastique, le silicone et a fortiori le cuir, ne font pas le poids question solidité et résistance dans le temps.

Le mouvement automatique est également un atout, car il n'y a plus besoin de changer les piles (mouvement à quartz, le plus courant). Le mécanisme se remonte grâce aux mouvements du poignet, ce qui implique de porter la montre régulièrement. Le cas échéant, des "remontoirs" se chargent de faire le travail à votre place.

Derniers détails utiles, selon moi, l'affichage de la date, la phosphorescence des aiguilles, ainsi qu'une bonne lisibilité du cadran.

Pour mes 30 ans, j'ai eu la montre qui réunit tous ces critères en même temps. Elle me convient parfaitement. C'est une Tissot, excellente marque suisse, mais dont les prix restent raisonnables. Les petits "plus" esthétiques : le mouvement continu et non saccadé de la trotteuse, la transparence du mécanisme au dos du cadran, et la très vive phosphorescence bleu/vert des aiguilles. Et puis j'aime beaucoup son esthétique masculine adaptée à un format féminin. Elle est étanche à 100m, ce qui laisse une belle marge pour l'immersion.

Définitions inspirées !

Poissons d'Avril

On ne tombe pas forcément dessus quand ils sont là, mais c'est toujours sympa de les lire même après coup. Presse écrite ou internet, voici quelques beaux poissons d'Avril...

L'utilisation des noms de "Winnie, Rudyard et Boucles d'Or" dans l'article du lâcher des 3 ours dans les Vosges, peut mettre la puce à l'oreille... De même que le nom des personnes concernées dans cette affaire, Edouard Baloud et Charles Darvin. On apprend que les ours "ont vécu une adaptation au zoo de Schengen, où tous leurs papiers vétérinaires ont été vérifiés" et doivent bénéficier d'un "lâcher officiel". Hum dakeur...

Il paraîtrait aussi que Claude Guéant vient de faire une "annonce choc" et réclamerait une "contribution citoyenne" de un euro au moment des votes et des référendums. Mais bien-sûr!

"Casse-toi pôv con!", la célébrissime répartie de Sarkozy, aurait fait l'objet d'un témoignage, celui de la journaliste prétendument insultée, "Cerise Simet". Témoignage appuyé par celui de Yves Bouvière (la bouvière est un poisson), 69 ans, "aujourd'hui garde forestier au domaine de Chambord", racontant "un coup monté par l'Elysée" pour montrer le sens de la répartie du président de la République, mais qui "ne s'est pas passé comme prévu". Ah oui forcément, là on comprend mieux!

Enfin, et c'est mon préféré, l'essai clinique de la pilule miracle "Obéfix" (lol), préconisée dans le maintien de la prise de poids après un régime. Elle est "efficace, avec peu de risques", et surtout, détail pratique, on peut la "prescrire largement" et "sans attendre la demande"... Le médicament idéal quoi!